"Esprit Robin" Messages d'anciens

  • 30 Nov 2020

Voici quelques témoignages qui confirment "l'esprit Robin"

 

Les année 60, 

À Robin de 63 à 67, je me suis senti le bienvenu dans une grande famille, entouré de camarades sympathiques et d’un staff aux personnalités très diverses et très marquées.  

Je n’oublie pas Robin depuis cette période en dépit d’une carrière professionnelle qui m’a tenu éloigné de notre beau pays.

Jean-Michel Savary (67)

 

Les année 70, 

Qui se souvient de cet épisode neigeux qui bloqua une grande partie de la France, et totalement la vallée du Rhône

Période de totale insouciance ou nous étions capables de se lancer des défis fous du style :

« t’es pas cap, on se fait Marseille Vienne en cinq jours à pieds le long de la nationale 7 » Au sortir de 68 rien ne nous faisait peur.

Rien ne nous arrêtait sauf la neige

Cette année 2020, le virus va même arrêter la neige ou tout du moins les joies de la glisse.

Il faut faire attention, très attention, et écouter quand on nous dit qu’il faut faire attention, même nous les vieux jeunes…

Sauf que,

Nous aimons nous retrouver, 50 ans après et nous redevenons très vite les gosses que nous étions, le virus nous guette, et nous saute dessus sans prévenir….

C’est oublier que nous sommes des Robinois, entrainés, affutés, comme aux premiers jours.

Une fois de plus le groupe tient bon, nous nous en sortons

Esprit Robin tu dois être là avec nous pour passer ces moments graves

La note 20/20 c’était pour les autres…..

Nous serons là en 2021.

Norbert Garroux (72)

 

Les année 80, 

Je n'ai pourtant passé que 3 ans à Robin, j m'y suis sentie terriblement bien, l'endroit, les arbres, le cloître, tous les profs que j'ai pu avoir avec une mention bien spéciale pour Michèle Broduriès. 

J'ai 16 ans je sors d'un pensionnat plutôt sévère, j'ai des copains à Robin depuis peu et j'ai le souvenir de ma mère qui me fait une vraie surprise à m'annoncer "ma prochaine rentrée".

J'arrive dans un lycée où je me sens en sécurité, comme si la vie commençait là-bas avec des adultes bienveillants, l'espagne, Mardi Gras, Valloire et nous on se prend pour les rois du monde , sûrs qu'on "roule nos adultes bienveillants" alors qu'ils nous laissaient faire tout en étant bien cadrés, 

j'y ai appris une belle liberté et les valeurs qui m'accompagnent toujours.

J'ai cette intime conviction c'est d'avoir construit un bout de moi à Robin qui ne me quittera jamais. 

Dominique Escoffier (84)

 

 

 

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